Le continent est spolié au quotidien par une collecte prescrites aux missionnaires venant de l’Europe depuis plus de deux siècles. Sur les misères des peuples, l’Eglise continue de s’enrichir, a nom d’un dieu pourtant présenté comme Amour
L’Afrique a célébré le 25 décembre avec beaucoup d’autres pays dans le monde la fête de la nativité, qui rappelle la naissance de Jésus le christ. Celui-là-même qui, d’après la bible, demanda à ses disciples de prêcher la bonne nouvelle qu’il incarnait, à savoir la rédemption des péchés, dans tous les coins de la terre. Promettant qu’après cela il reviendra. Après sa mort, sa résurrection, sa montée au ciel et l’avenue du saint esprit, ces disciples firent d’après la bible le job avec passion, malgré l’adversité qu’ils rencontrèrent sur le chemin de la prédication. Passé l’époque où Jésus était lui-même à la tâche, la bonne nouvelle continua d’être prêchée, mais vraisemblablement non plus pour ramener les âmes à Dieu, mais pour les soumettre et les exploiter. Après les guerres saintes, définies comme des guerres lancées au nom de dieu ou approuvées par une autorité religieuse, pendant lesquelles la violence physique était utilisée pour convaincre, la colonisation de l’Afrique fut précédée et accompagnée par un autre type de guerre religieuse,
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