Fêter d’abord, réfléchir ensuite, c’est le maître mot. Les origines, les causes et le bien fondé de la fête de noël restent peu claires, mais les consciences ont été suffisamment manipulées pour ne pas y réfléchir.
La soumission librement consentie à la suite d’un processus de manipulation bien travaillé, c’est la crainte du comportement africain par rapport à la fête de la nativité. Précédemment, nous indiquions qu’à la suite de la manipulation aussi, une personne ne sachant comment réagir va suivre les autres, parfois aveuglément au risque de se mettre en danger. C’est l’observation faite dans la société camerounaise, où les uns et les autres suivent le mouvement, achètent les guirlandes et autres sapins pour faire bonne figure, pour que quelque chose brille aussi chez soi, pour ne pas être dernier ou en marge, c’est la mode. Parfois c’est même une question d’orgueil et d’honneur. Ceux qui résistent se recrutent dans des religions aux convictions arrêtées, comme les musulmans ou les témoins de Jéhovah, du reste considérés comme marginaux par une foule plus nombreuse acquise à la cause de noël. Et comme dans beaucoup d’autres célébrations, à l’instar du saint valentin, les foules ne se posent pas beaucoup de questions, on fait comme les autres. Mais noël qu’est-ce que c’est ?
Vous venez de lire 1/3 de cet article réservé aux abonnés.
Abonnez vous pour lire la suite et écouter l'audio
