Annoncé dans les programmes de réhabilitation en 2025, le tronçon de route reliant les deux capitales régionales au Nord Cameroun reste un calvaire pour les usagers, son état se dégrade sous le regard impuissant des populations depuis des décennies, malgré le soutien du régime en place.
La vitesse moyenne sur une route nationale est généralement de 80 km/h, mais elle peut varier en fonction de la configuration de la route et de la présence de zones dangereuses. Les routes nationales sont souvent des axes importants reliant les villes, mais contrairement aux autoroutes, elles ne comportent pas de péage. Ces petites précisions, considérées comme la norme, sont données sur internet à toute personne qui s’intéresse à la vie sur les routes. Une norme qui n’est cependant pas figée, car si elle est ainsi définie en France, le Cameroun qui tire de cette métropole l’essentiel de ses règles, arrive à autoriser 110 km/h sur certaines portions de ses routes nationales. En restant tout de même sur la moyenne de 80km/h, une distance de 300 km devrait être parcourue en 4h maximum. Déjà le Cameroun a instauré les péages sur les routes nationales, en violation du droit à la libre circulation des biens et des personnes, garantie par la constitution, et au-delà, par la simple logique
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