La crise entre les deux institutions étatiques, qui s’est transformée en une guerre d’égo, cache mal les malversations et autres méfaits connus, mais couverts pour la bonne marche du système.
Quel sera le point de rupture au Cameroun, sur la route du changement, ou plutôt que va vendre un homme politique aux Camerounais pour qu’ils lui signent un chèque en blanc, le Camerounais de la classe sociale moyenne, pas celui qui vit et se nourrit du système, peut-il encore faire confiance, ne vaut-il pas mieux faire avec le démon qu’on connait qu’avec l’ange qu’on ne connaît pas ? Autant de questions que se posent les Camerounais quand il s’agit de penser au prochain président de la république. Sans compter qu’il ne devra pas s’agir de changer juste un homme au-dessus d’un même système, mais de débouler toute machine pour installer une toute nouvelle, conçue dans l’alliance des valeurs ancestrales et de la technologies moderne, en mesure de répondre aux exigences du nouveau monde tout en étant profondément ancrée dans les cultures locales.
Vous venez de lire 1/3 de cet article réservé aux abonnés.
Abonnez vous pour lire la suite et écouter l'audio
